He conocido personas de todo tipo y de múltiples culturas del mundo, personas alegres y tristes, cariñosas y áridas, silenciosas y ruidosas, reflexivas e impulsivas, intelectuales y banales, melodramáticas y vividoras..., pero sin duda las personas que más me gustan son las mujeres freakes. Esas mujeres sensibles e intelectuales con gustos especiales que parecen sacadas de un cómic. De naturaleza graciosa y cariñosa, alegres, generosas, entregadas, desenfadadas, poco reflexivas y que saben disfrutar de la vida. Suerte que siempre llegan, así, como la vida ha traído a Patricio Estrella.
Eblouie par la nuit à coup de lumière mortelle
A frôler les bagnoles les yeux comme des têtes d’épingle.
J’t'ai attendu 100 ans dans les rues en noir et blanc
Tu es venu en sifflant.
Eblouie par la nuit à coup de lumière mortelle
A shooter les canettes aussi paumé qu’un navire
Si j’en ai perdu la tête j't’ai aimé et même pire
Tu es venu en sifflant.
Eblouie par la nuit à coup de lumière mortelle
A-il aimé la vie ou la regarder juste passer?
De nos nuits de fumette il ne reste presque rien
Que tes cendres au matin
A ce métro rempli des vertiges de la vie
A la prochaine station,petit européen.
Mets ta main,dessend-la au dessous de mon coeur.
Eblouie par la nuit à coup de lumière mortelle
Un dernier tour de piste avec la main au bout
J’t'ai attendu 100 ans dans les rues en noir et blanc
Tu es venu en sifflant.
Eblouie par la nuit à coup de lumière mortelle
A frôler les bagnoles les yeux comme des têtes d’épingle.
J’t'ai attendu 100 ans dans les rues en noir et blanc
Tu es venu en sifflant.
Eblouie par la nuit à coup de lumière mortelle
A shooter les canettes aussi paumé qu’un navire
Si j’en ai perdu la tête j't’ai aimé et même pire
Tu es venu en sifflant.
Eblouie par la nuit à coup de lumière mortelle
A-il aimé la vie ou la regarder juste passer?
De nos nuits de fumette il ne reste presque rien
Que tes cendres au matin
A ce métro rempli des vertiges de la vie
A la prochaine station,petit européen.
Mets ta main,dessend-la au dessous de mon coeur.
Eblouie par la nuit à coup de lumière mortelle
Un dernier tour de piste avec la main au bout
J’t'ai attendu 100 ans dans les rues en noir et blanc
Tu es venu en sifflant.
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